Que de chemins parcourus depuis que Maitresse Angie m’a accepté dans son royaume.
Avant de la rencontrer, je pratiquais la domination pure et simple. Elle m’a fait découvrir les délices de la soumission.
Dès notre première rencontre, je lui ai fait part de mon souhait d’une relation suivie avec Elle, faite de soumission, pouvoir La servir dans la limite de mes moyens, au maximum de ce que je pourrais faire.
Elle me fit remarquer que la domination et la soumission sont deux choses différentes ; Qu’elle est prête à me donner une chance selon ses conditions, à savoir que cela ne doit à aucun moment lui peser, la contraindre dans sa vie, mais au contraire lui servir sans que je n’attende rien en retour. D’une voix douce et agréable, elle me dit « Il va falloir que tu fasses tes preuves ».
Je savais que je pouvais me soumettre mais pas au point que je l’imaginais. Je lui expliquais que ma soumission serait facilitée par mes horaires de travail assez souples me permettant de me libérer facilement en journée pour une heure ou 2 selon ses désirs. C’était un bonheur pour moi de pouvoir servir cette si jolie Maitresse.
Elle me disait qu’elle aimait beaucoup s’amuser, humilier son soumis.
Je me rappelle parfaitement que la première fois, elle me parlait, j’étais à genoux devant Elle, je buvais ses paroles….
« Si tu deviens mon soumis, tu ne seras pas déçu mais il va falloir que tu me montres que je peux te faire confiance et que tu es prêt à me suivre là où j’aurai envie de t’emmener. »
Effectivement, 4 ans après notre première rencontre, je peux assurer que je n’ai nullement été déçu bien au contraire, même si il y a eu des moments plus ou moins facile et des remises en question.
Si Maitresse Angie sait se montrer douce, chipie, joueuse, elle peut aussi être cruelle et très garce.
Revenons au début….
Il fallait que je lui prouve ma servitude envers Elle.
Grâce au portable, j’étais toujours connecté avec ma Maitresse et prêt à lui répondre.
Je me rappelle très bien de la première course que je devais faire… Un matin vers 10h, alors que j’étais au travail, je reçus : « Bonjour sam, j’ai envie de manger des sushis ce midi. Apporte moi un plateau de californias et du riz vinaigré. » Elle m’indiquait l’adresse et me dit qu’elle voulait être livrée pour 13h.
Je fus très excité car c’était mon premier ordre, je lui répondis de suite : « oui bien sûr, Maitresse. »
« Ne sois pas en retard, je n’ai pas beaucoup de temps pour manger ce midi. »
Je quittais mon travail et je pris le train puis le métro pour aller à la Madeleine puis porte de Champerret. J’allais dans le petit restaurant japonais que Maitresse aimait particulièrement et commandais ce qu’elle m’avait demandé.
Je me dépêchais car il était nullement question que je sois en retard chez Maitresse. Je voulais faire bonne impression de suite, lui devenir indispensable, enfin c’est ce que j’aimais à imaginer.
A 13h pile, je fis ce message « Maitresse, je suis en bas. »
Et quelques secondes après, elle me répondit de monter.
Je fis le code et montais les 6 étages à pieds tout excité d’avoir été utile et de voir ma Maitresse, même quelques minutes.
Je reçus un nouveau texto « très bien, dépose le paquet sur mon paillasson et retourne au bureau, sam. »
Je fus surpris par ce message … je ne m’attendais pas à cela du tout. Je voulais la voir, l’apercevoir. Elle me congédiais comme ça sans un merci…
J’étais blessé, humilié j’avoue… Je déposais donc le paquet de Maitresse et repartais de suite comme elle me l’avait ordonné.
J’étais déçu de ne pas la voir, pouvoir lui baiser les pieds mais je devais lui obéir, Maitresse estait ma soumission envers elle. Je repris le métro et le train pour finir ma journée au travail.
A 14h, je reçus ce texto :
« Merci sam. C’était très bon. Tout à l’heure je n’avais pas le temps de te voir. »
Je fus rassuré et lui répondis : « je suis content de vous avoir fait plaisir. »
« Que fais tu ce week-end sam ? »
« Je pars à la campagne avec mon épouse dans l’Eure –et-Loire. »
Chaque week-end, je partais en effet à la campagne. Le dimanche matin, Maitresse me fit ce texto :
« Peux tu me rapporter des légumes et fruits de ton potager ? »
Je suis content de lui répondre : « oui bien sûr, Maitresse, je vous le déposerai demain matin à 6h devant votre porte avant d’aller à mon travail. »
« C’est parfait sam. »
J’avais une nouvelle occasion de montrer ma soumission envers ma Maitresse. Je cueillais des tomates, des haricots verts, des aubergines, des poivrons, des prunes…Le lendemain matin, je me levais à 5h au lieu de 6h habituellement pour apporter ma récolte à Maitresse.
Je partis de chez moi à 5h35 pour arriver à 5h55 devant l’immeuble de Maitresse. Je montais sans faire de bruit et je déposais 2 grands sacs de légumes et fruits derrière la porte.
Je redescendis aussitôt et dans ma voiture, j’écrivais à Maitresse :
« Bonjour Maitresse, je viens de déposer ce que vous m’avez demandé. »
Je mis 20 minutes pour retourner à mon travail, j’étais à l’heure, tout se passait bien. A 7h20, je reçus le texto suivant : « Hum, je vais me régaler sam, merci ».
Maitresse était contente de moi et cela me faisait plaisir. Par la suite, tous les lundis matin, je lui apportais un panier rempli de fruits et légumes, et ce tant que mon jardin put offrir ses bienfaits.
Par cet acte, Maitresse emmagasinait de la confiance envers moi. Je lui faisais simplement plaisir sans même la voir, mais cela me satisfaisait aussi. J’avais l’impression d’être utile, de lui appartenir.
Un soir, alors que je regardais la télévision, seul, je reçus ce texto : » As tu un plug, sam ? »
« Non Maitresse. »
« Tu vas en acheter un. »
« Très bien Maitresse, mais où est ce que je trouve cela ? »
« Tu te débrouilles sam. »
Quelque jours après, son ordre son ordre fut exécuté. Je lui envoyais un texto pour lui dire que j’étais aller acheter le plug rue Saint-Denis.
« Très bien sam. Rentre chez toi et mets le plug dans ton cul de 20h à minuit. »
Lire le texto de Maitresse m’excitait. Je rentrais chez moi et attendis l’heure. J’étais tout excité, j’avais envie d’essayer tout de suite, mais j’attendais l’heure indiquée en regardant le plug.
Vers 19h30, n’y tenant plus, je commençais à préparer mon anus pour qu’il reçoive le joli plug. A 20h je fis le texto suivant :
« Maitresse, le plug est bien au chaud. »
« super sam, je vois que tu es bien obéissant, garde le bien jusqu’à minuit, je te fais confiance. »
Je commençais à être bien soumis à ma Maitresse.
Malheureusement, 2h plus tard, tempete dans mon trou, je ne supportais plus le plug. Je n’avais pas l’habitude et dus le retirer. J’envoyais à regret un texto à ma Maitresse pour lui expliquer, j’étais déçu de moi même de ne pas avoir exécuté l’ordre de Maitresse jusqu’au bout. Je craignais de la décevoir et qu’elle ne soit pas contente de moi.
Mais bien au contraire, elle me remercia de lui avoir avoué la vérité et me dit qu’elle préférait la vérité plutôt que je lui mente pour faire comme ci. Elle voulait avoir confiance dans nos jeux sinon à quoi bon.
Quelques jours plus tard, alors que j’étais au travail, il était 9h quand je reçus ce texto : « J’ai besoin de toi sam à 14h, je veux que tu me conduises faire des courses dans Paris. »
« Bien sûr, Maitresse. »
« Je t’attends à 14h précises. »
Maitresse me donnait des ordres, elle ne me demandait si cela me convenait. Elle acceptait juste un refus si j’étais obligé de rester pour le travail.
C’était la première fois que j’allais servir de chauffeur à ma jolie Maitresse qui prenait confiance en moi. Je quittais mon travail à 13h. A 14h, j’étais devant l’immeuble, mon plug se trouvant dans ma voiture, je le mis en évidence sur le tableau de bord afin de le présenter à Maitresse. Je la prévins que j’étais devant chez elle .
« Parfait sam, je descends. »
Lorsque Maitresse apparut, je sortais da ma voiture pour la saluer en lui baisant la main et surtout, lui ouvrir la porte de la voiture.
Elle prit position à côté de moi. Elle ouvrit son sac et en sortit un bas noir : « ouvre ta bouche. »
Elle me mit le bas dans la bouche : « ainsi je vais être tranquille pendant le trajet, pas obligé de supporter ta conversation nulle … Et range moi ce plug. »
Ce fut ma première humiliation. Elle me dit que nous allions aller au parc des expositions de la Villette.
Tout en conduisant, sans pouvoir rien lui dire, elle m’indiqua le chemin. Arrivés au parc, elle me fit descendre au parking souterrain. Une fois garés, elle me dit « lève ton pull. » Elle prit de son sac 2 petites pinces qu’elle me mit sur les tétons puis nous descendîmes de la voiture.
Elle me dit : «Attends, j’ai vu que tu avais pris ton joli plug, prends le et vas le mettre derrière la voiture, tu étais si fière de me le présenter…. je t’attends. »
Après la suprise de cet ordre, je me dis : Oh non, pas ça…. Il ne va jamais rentrer, ca va me faire mal….
Maitresse eut un sourire pervers et humiliant. Elle s ‘amusait de ma détresse.
Je pris le plug et je me cachais derrière la voiture.
Je défis la ceinture de mon panatalon, baissa mon slip et m’accroupis pour enfiler le plug. J’avais beaucoup de mal l’enfiler. J’entendis…. « C’est pour aujourd’hui ou pour demain…. Je t’attends. »
Le plug finit heureusement par entrer dans sa cachette. Je me relevais et remis de l’ordre dans mes vêtements.
« Garde bien le bas dans ta bouche. »
« oui Maitresse. »
Le parc était à 5 minutes du parking. Je devais rester juste derrière elle. Maitresse marchait très vite. Je sentais le plug bien au fond de mon trou. Le parc des expositions était ce jour-là consacré aux produits bio et Maitresse adorait se rendre dans les salons bio.
Pendant 2 heures, Maitresse faisait ses courses très à l’aise, je la suivais de très près, lui servant de porte monnaie ambulant. Je me faisais le plus discret ayant peur que l’on voit ce que j’avais dans la bouche.
Les petits sacs s’entassaient et devenaient plus lourds. Parfois, Maitresse engageait la conversation avec les machands et m’obligeait à être juste à côté d’elle. J’avais peur que le marchand s’adresse à moi, ne pouvant parler. Maitresse s’amusait beaucoup de cette situation et me fit souvent de petits sourires ironiques.
Les pinces commençaient à me mordiller les tétons sérieusement. Le plug s’activait de son côté…
Heureusement, Maitresse avait fait le tour du salon et je la raccompagnais chez elle.
Je repris de suite la voiture pour rentrer rapidement moi aussi, ma journée de travail étant terminée. Une fois chez moi, je lui fais ce texto : « Merci Maitresse pour ce moment agréable passée avec vous, merci de votre confiance. »
« Oui je suis satisfaite de mon chien. »
Une autre fois, je reçus ce texto : « Sam, je veux derrière ma porte, demain matin à 6h, 4 sacs de litière pour mes chats. »
« Très bien Maitresse. »
Je devenais de plus en plus son soumis. Dans l’après-midi, je partis acheter les sacs en question et le lendemain, je me levais 1h plus tôt pour déposer la commande de Maitresse devant sa porte, sans faire de bruit.
A 7h, je reçus le texto de Maitresse : « Idiot, ce n’est pas la marque que je t’avais demandé, tu reviendras demain à la même heure déposer les bons sacs de litière, tant pis pour toi sam. »
J’étais déçu de m’être trompé et tout à la fois, excité par son texto. De nouveau, le lendemain m tin, je me levais à 5h avec les bons cette fois.
A 6h45, un massage de Maitresse : «Dis sam, tu te fous de moi, je t’ai demandé 4 sacs pas 3. Tu m’apporteras le 4ème demain matin. »
En fait, je le savais bien mais le magasin était en rupture de cette marque et je n’avais pas eu le temps d’aller voir ailleurs. Maitresse ne laissait rien passer, même pour des choses pas très importantes, en tout cas à mes yeux. Elle se faisait garce sur ce coup-là et elle avait bien raison, c’est ce que je cherchais finalement. Comme un enfant, je testais moi aussi les limites de ma Maitresse.
3 jours de suite, je dus me lever une heure plus tôt pour des « litières de chat !!!! »
Ce qui était incroyable, c’est que je revenais à chaque fois avec un certain plaisir.
Maitresse était capricieuse et je me laissais faire.
7h15 : « Tu vois, ce n’est pas compliqué… la prochaine fois, tu t’appliqueras à m’amener ce que je te demande la première fois. »
« Oui Maitresse. »
Et chaque lundi, je continuais à lui apporter fruits et légumes du jardin.
Maitresse était toujours contente, elle aimait ma production. Et cela me faisait plaisir d’être complimenté.
« Sam j’ai besoin d’orties fraiches pour demain matin. J’ai un soumis qui me rend visite et j’adore le caresser avec mes orties. Demain pour 11h ».
« Très bien Maitresse, je vous les apporte avant. »
Le lendemain matin, après m’être levé à 7h30, je pris une petite glacière et partis à la recherche d’orties dans les alentours de chez moi. Je les déposais derrière sa porte à 9h45. Je redescendis et avant de repartir, fis un texto : « Les orties sont déposées à votre porte Maitresse. »
J’allais démarrer ma voiture quand : « Monte tu mérites une récompense. »
Hum… Maitresse me rappelait pour une récompense, je me dépêchais de remonter et entrais dans son salon.
Je me mis à genoux devant Maitresse et lui baisais les pieds.
« Allonge toi toi sur le sol. »
J’obéis de suite. « ce matin, tu mérites un peu de champagne. »
Je vis Maitresse enlever son pantalon, puis sa petite culotte. Elle s’accroupit au-dessus de ma bouche en intercalant son petit entonnoir entre son sexe et ma bouche. Maitresse n’avait pas son pareil pour déverser doucement puis plus abruptement son champagne dans ma bouche. Elle s’amusait en même temps à me torturer les tétons. J’étais très excité, quelle superbe récompense, elle m’offrait.
Une fois terminé, je la remerciais et me rhabillais. Au moment de partir : « attends sam j’ai oublié quelque chose. »
Elle ouvrit la glacière et s’empara de quelques branches d’orties.
« Baisse ton pantalon. »
Aussitôt fut fait et elle déposa les orties dans mon slip, remonta mon slip et appuya fortement avec ma main.
Je me retins pour ne pas hurler. Maitresse eut un sourire narquois : « tu n’aimes pas la caresse de Maitresse ? »
Je faisais des grimaces pour toutes réponses. De ce spectacle que je lui offrais, Maitresse ne put s’empêcher de rire… qu’elle est belle quand elle se moque de moi de bon cœur…
« Voilà tu peux partir maintenant. »
Maitresse adorait faire sa chipie, je découvrais que Maitresse était très joueuse.
Une autre fois, fin décembre : « J’ai besoin d’orties pour demain matin. »
Une nouvelle fois, je me levais à 4h15 pour aller chercher des orties fraiches. Cela devenait plus compliqué à cette période hivernale. Il faisait nuit et froid. J’allais à 6km de chez moi au même endroit que la 1ère fois, sauf que ce matin-là il avait neigé durant la nuit et que les orties avaient du coup disparu.
Je ne pouvais satisfaire ma Maitresse et je lui envoyais un texto :
« Maitresse impossible de vous apporter des orties ce matin, il a neigé ici. »
Je partis directement à mon travail, j’étais en avance d’une heure.
Quelques mois plus tard, la salle de sport habituelle de Maitresse étant fermée, elle dut aller à une autre à plusieurs stations de métro, mais Maitresse n’aimait pas prendre le métro.
Alors, elle demanda à son chien de l’emmener toute la semaine à la salle de 8h30 à 10h30.
« Cela tombe bien Maitresse, je travaille l’après-midi. »
Comme convenu, le lundi matin, j’allais la chercher. La salle de sport n’était en vérité, pas bien loin mais j’étais pour servir Maitresse et mon temps ne comptait pas.
Je trouvais une place pour me garer à 30 m de la salle et Maitresse m’expliqua que j’allais devoir l’attendre, qu’elle en avait pour 2 heures.
« Soulève ton pull. » Elle plaça les petites pinces sur mes tétons.
« Tes mains » Je tendis les mains devant moi. « Idiot, mets tes mains derrière le dos. »
Je fus très surpris de cet ordre. Elle sortit de son sac de sport des menottes et m’attacha les mains derrière le dos avec le risque que quelqu’un s’aperçoive que j’avais les mains menottées dans ma voiture. Quelle honte…
« Comme ça, je suis sûre que tu resteras sage et que tu ne seras pas tenté de toucher aux pinces avant mon retour. »
Elle descendit de la voiture et me laissa ainsi, penaud et mal à l’aise.
La munition était très inconfortable. En plus, j’étais sur place payante et elle ne m’avait pas laissé le temps d’aller mettre une pièce. Pendant tout le temps, je regardais devant, derrière, dans le rétro intérieur, celui extérieur pour voir s’il n’y avait pas un contrôleur.
Après 30 minutes, les pinces commencèrent à me faire très mal.
Après 1 heure, je guettais Maitresse dans le rétro mais je ne la voyais pas sortir de la salle. Je dus encore attendre 45 minutes. Jamais je n’aurais penser vivre une situation pareille. Quelle humiliation et la peur que l’on me découvre prisonnier dans ma propre voiture.
Ce jour-là, je me suis dis que je pouvais m’attendre à tout de la part de ma Maitresse.
Les jours suivants, je suis venue la chercher aussi, mais elle me donna un autre style de punition : je dus copier 200 fois « je ne suis qu’une grosse merde puante qui doit obéir à sa Maitresse, comme un bon chien que je suis ».
J’étais heureux de venir chercher Maitresse chaque matin et la voir quelques minutes pour l’emmener et la ramener. Et surtout, Maitresse ma’vait fait vivre quelque chose d’unique en m’attachant les mains dans le dos.
Maitresse avait osé….
Quelques temps plus tard….Maitresse m’autorisa à l’accompagner dans un restaurant.
Je la conduisais en voiture, elle me mit les petites pinces aux tétons.
Nous arrivâmes au restaurant, Maitresse choisit une table où étaient intallées 2 jeunes et jolies filles.
Le serveur tendit la carte de menu à Maitresse puis une vers moi. A ce moment-là, Maitresse lui dit assez fort « Non, pas la peine, Monsieur est juste là pour régler l’addition, il va me regarder me régaler. »
J’ai dû rougir, tellement je ne m’attendais pas à cette réflexion de Maitresse… Quel idiot, je devais bien me douter que Maitresse n’allait pas faire un simple diner avec son chien.
Les 2 jeunes femmes entendirent la réponse forcément. Et Maitresse d’ajouter dans un sourire ironique : « baisse les yeux, qui t’autorise à me regarder ainsi ». Maitresse m’humiliait publiquement.
Le serveur apportait la salade de Maitresse. Elle semblait apprécier mais à chaque fois que je tentais de lever les yeux, Maitresse me disait assez haut : « je t’ai dit de baisser les yeux, sam, la prochaine fois, je te colle une gifle, ne me tente pas. »
Maitresse me surprit encore pas son attitude arrogante comme j’aime la voir…. Je n’osais plus lever les yeux de peur qu’elle mette ses menaces à exécution. Je devinais Maitresse en train de jubiler… J’étais humilié mais en même temps, j’adorais cette situation, j’étais excité…
Juste avant de commander son dessert, Maitresse me dit « vas aux toilettes et allume ton portable. »
Je me levais aussitôt sans oser regarder les 2 jeunes femmes ni le serveur qui revenait prendre la commande.
Une fois, que j’étais aux toilettes, mon portable se mit à sonner, j’avais un message. « Branle toi et mets ta jouissance dans du papier toilette, que tu mets ensuite dans ta bouche ».
Je m’exécutais en pensant à ma Maitresse qui m’humiliait si bien..
La jouissance vint rapidement, je récupérais tout dans un papier que je fourrais dans ma bouche. Je me lavais les mains et remontais m’asseoir en face de Maitresse.
Maitresse s’amusait avec son portable et ne prêta pas beaucoup d’attention à ma présence.
Mon portable sonna à nouveau, qui pouvait bien m’écrire à cette heure-ci…
« Je t’autorise à prendre un dessert une fois le papier avalé . »
Je levais les yeux. Elle me lança un sourire amusé. « Mâche bien sam » me dit-elle.
Elle continuait de s’amuser de la situation, qu’elle était jolie ma Maitresse quand elle souriait. Elle continua de sourure aussi aux 2 jeunes femmes.
Maitresse me regarda manger le papier qui avait du mal à passer.
«Tu pourrais me dire merci pour le dessert tout de même. » avec sa voix la plus douce et venimeuse comme elle sait si bien faire.Je n’osais pas lui dire « meci Maitresse ». Elle n’insista pas sachant très bien que j’étais géné par la présence des 2 jeunes femmes.
Quelle humiliation cette soirée mais quel plaisir de vivre un moment pareil….
Bien entendu, en fin de repas, je suis allé discrètement régler l’addition auprès du serveur.
Un après-midi, Maitresse eut encore l’occasion de m’humilier publiquement. Je l’accompagnais au magasin monoprix.
Nous étions au rayon alimentaire, j’avais un bout de papier dans la main et machinalement je le fis tomber au sol. Maitresse s’en aperçut : »Ramasse et donne moi ce que tu viens de jeter. »
Je ramassais le bout de papier et lui tendis : « Ouvre la bouche. » et elle me mit le papier dans la bouche en me disant : »mâche et avale, cela t’apprendra à ne rien jeter par terre, ce n’est pas une poubelle. »
Bien entendu, Maitresse ne se préoccupa pas de regarder autour d’elle si des gens regardaient la scène. Quelle belle humiliation ….
Hélas, je devais annoncer à Maitresse que j’allais quitter la région parisienne pour habiter l’ile de Ré. J’étais triste de lui annoncer cela. J’étais content de partir pour vivre plus proche de la nature mais en même temps, j’adorais notre relation et je n’avais pas envie que notre relation s’arrête du fait de la distance.…
Pendant 10 mois, j’avais fait de mon mieux pour servir ma Maitresse, je m’étais efforcé de lui plaire au maximum, réactif à ses exigences les plus folles, les courses qu’elle m’envoyait faire dans tout Paris. Tout près d’elle, il ne se passait pas une semaine sans qu’elle ait besoin que je la serve… j’adorais être récompensé de son champagne délicieux.
A l’époque, je ne savais pas que notre relation était loin d’être terminée. Cela fait maintenant 3 ans et demi, que je suis à l’ile de Ré et depuis, tout un tas de situations très excitantes ont vu le jour….
Mais tout cela, je vous le raconterez dans une autre fois….
Comme je vous l’avais dit quand on entre dans le monde de Mademoiselle Angie, il est difficile d’en sortir…. Vous êtes hypnotisé par Elle…..