Bonjour à tous,
Aujourd'hui, je vais vous conter ma récente séance chez ma belle Maîtresse.
Je profitais de mon séjour à la campagne pour prendre rendez-vous.
Je lui envoyais ce message :
"Bonjour Maîtresse, je suis seul à la campagne, puis-je venir, mercredi 4 mai? "
" Super sam, je vais pouvoir te corriger comme tu le mérites, depuis novembre, tu m'as donné un tas de raisons pour cela."
" A quelle heure souhaitez-vous que je vienne Maitresse ?"
Presqu'aussitôt :
" Tu recevras ta correction à midi mais avant je voudrai que tu ailles à la laverie pour une grosse couverture, je t'attends à 10h30 donc, au moins tu auras une utilité, moi je n’ai pas le temps. "
Super, Maîtresse allait m'utiliser pour lui rendre service comme au début de nos rencontres. Je reste nostalgique de cette période où Maitresse profitait et abusait de moi.
" C'est avec plaisir, Maîtresse, que j'irai à la laverie "
" Très bien sam, 10h30 précise, tu me feras un texto à ton arrivée, je te préviens, tu ne seras pas prêt de faire du cul nu sur les plages de l'Ile de Ré et tes tétons vont s’en souvenir. "
Comme d'habitude, Maîtresse était très excitante dans ses textos .
"Oui, Maîtresse, je sais. "
Je retournais dans mon jardin pour continuer à faire de petits travaux de jardinage.
J'étais hyper content car le lendemain, je serai avec Maîtresse
2 heures après, j'avais un nouveau texto :
"sam, n'oublie pas d'avoir une tenue correcte c'est à dire sans poil de la tête aux pieds "
"Cela va de soi, Maîtresse."
Maîtresse aime les chiens propres.
Le lendemain à 6h00 : "Je me lève, Maîtresse . »
A 7h20 :
" Je pars, Maîtresse ".
J'avais 3h20 devant moi pour faire le trajet.
A 8h40, juste avant le triangle de Rocancourt, on s’est mis à rouler au pas puis plus du tout. Je commençais à mes stresser et à m’emballer.
" Comme d'habitude, Maîtresse, cela bloque, il y a eu un accident "
" Ne stresse pas sam tu as 1h45 pour arriver "
Lorsque je dois être à 7h00 chez Maîtresse il n'y a aucun problème de circulation mais dans la matinée c'est toujours compliqué.....
40 minutes passèrent et j'étais toujours bloqué.
" Maîtresse, cela n'avance pas, quel est le numéro de code de la porte d'entrée? "
Aussitôt :
" A qui tu croies parler? Ce n'est pas parce que tu es stressé que tu dois te montrer incorrecte envers moi "
Comme j'étais toujours à l'arrêt :
" Pardon… Maîtresse, pourriez-vous, s'il vous plait, me communiquer le numéro de code de la porte d'entrée "
" Voilà qui est mieux, 7.... "
Cela se débloquait enfin et finalement, j'étais garé au parking de la porte Champerret à 9h45. Il me restait un peu de temps pour aller prendre un café.
A 10h10, j’étais prêt.
" Je suis assis, Maîtresse, sur le banc de votre petit square, j'attends votre feu vert pour monter."
10h25
"Mon chien peut monter."
Je fis le code et je pris l'ascenseur (je pouvais bien, Maîtresse n'était pas avec moi !!!).
Arrivé au 6ème étage, sa porte était entrouverte. Maîtresse me tendit sa main afin que je la baise.
"A genoux devant moi, tu as oublié les bonnes habitudes !!! "
A peine, j'obtempérais à son ordre, je reçus une belle paire de gifle.
" Voilà pour ton irrespect de tout à l'heure "
" Merci, Maîtresse."
Elle n'était pas habillée en tenue de dominatrice, un tee-shirt avec un pantalon.
" Bon tu vas aller tout de suite à la laverie avant que la chienne arrive à midi "
Tout de suite, je comprenais que j'allais recevoir une correction en présence de la chienne et que peut-être lui aussi allait avoir les fesses rouges.
Maîtresse m'expliqua comment faire pour la laverie. Nous avons mis la couverture dans un sac que j'avais apporté et au moment de partir
son portable sonna. Elle répondit aussitôt et quelques instants après...
" Bon tu iras à la laverie après ta correction car la chienne vient de me dire qu'il sera là à 11h30 et tu n'as pas le temps d'y aller avant "
Il était 10h35.
"Pose toutes tes affaires dans la salle de dressage et attends moi à genoux, mains sur la tête"
En moins de 30 secondes, je me retrouvais dans la position indiquée
"Comme je sais que tu as un problème à un genou, lève toi, je vais t'immobiliser en étant debout "
A peine debout face à Maitresse :
"C'est quoi ce gros bide, tu n'as pas honte de te présenter ainsi devant Moi ? "
"Pardon, Maîtresse."
Tout en me giflant une nouvelle fois, elle me dit :
"Monsieur fait du sport, mais s’empiffre comme un cochon!!!! Et après il ose me tenir tête sur comment avoir une bonne hygiène de vie !!!!"
Je dois dire que Maitresse avait raison (comme toujours), je faisais 7 kilos de plus que lors de notre dernière rencontre et je m’étais laissé un peu aller.
Maîtresse continuait de m'humilier sur mon poids.
"Tu vas voir la différence avec la chienne. Lui au moins est mince et joli à regarder, pas comme toi, gros sac de m…. »
Maîtresse mit les pinces sur mes tétons.
"Comme cela tes tétons seront opérationnels pour mes petits doigts après une heure de pose. "
Une fois menotté sur la barre :
"Je reviendrai à 11h15 te mettre des pinces à linge sur tes couilles "
"Merci, Maîtresse."
"Je te laisse méditer sur les bons plaisirs que je vais m'offrir quand la chienne sera là."
Avant de partir, Maîtresse alla sur son balcon. Elle revint avec une ortie fraiche. Je savais tout de suite que Maîtresse allait faire sa sadique.
Je redoutais la 1ère caresse.
"ohhhhhhhhh "
"J'adore cette torture sur tes pauvres couilles "
A mes affreuses grimaces, Maîtresse m'infligea une gifle sèche
"Voilà pour tes grimaces "
"Merci, Maîtresse "
"A tout à l'heure, sam "
Elle revint 25 minutes après, il était 11h15.
Maîtresse apparut dans sa tenue de dominatrice… une jolie robe en vinyl qui laissait apparaître ses jambes galbées et un décolleté provocateur. Elle portait de longs gants noirs qui couvraient une partie de ses bras, elle était très belle.
En s'approchant de moi, j'avais les yeux plongés dans son magnifique décolleté, elle me laissa la regarder mais je savais que j’allais le payer. Maitresse aime provoquer pour ensuite vous le faire payer car rien n’est « gratuit » comme elle aime le faire remarquer.
Maîtresse me mit 5 pinces à linge sur mes couilles.
C'est une torture que je n'aime pas du tout.
Maîtresse le savait mais tel était son désir.
Elle se releva.
"Voyons comment se portent tes tétons."
Elle s'amusa à tirer sur la chaine qui reliait les 2 pinces puis les enleva. Elle prit 2 petits papiers et s'amusa à me pincer les seins avec ses ongles. Ils étaient douloureux.
Maîtresse n'avait cure de mes grimaces. Je dois même dire, plus je grimaçais et plus Maîtresse les pinçait fortement.
Elle riait de mes grimaces
" C’est un bon début…. "
Elle me remit les pinces en y ajoutant un petits poids.
"Vous êtes délicieuse, Maîtresse, dans votre tenue super sexy."
Le portable de Maîtresse sonna, elle le regarda de suite.
"C'est la chienne, il est derrière la porte."
Maîtresse alla lui ouvrir.
Je l'entendis dire :
"Vite déshabille toi, sac à merde t'attend "
Même pas 2 minutes après la chienne apparut nu dans la salle de dressage.
"Bonjour la chienne "
Il eut du mal à me dire bonjour car il avait un mors dans la bouche qui lui défigura le visage.
Maîtresse entra à son tour dans la salle.
"A quatre pattes sur la table "
Il obtempéra aussitôt.
"Mais non imbécile, pas dans ce sens, comment veux tu que sam voit la correction que je vais t'infliger ?
En disant cela, Maîtresse m'annonçait indirectement que j'allais d'abord assister à la correction de la chienne avant qu'elle s'occupe de moi.
"Tu vois sac à merde, la chienne est venue spécialement pour toi "
"Merci la chienne "
Cette fois dans cette nouvelle position, ses fesses étaient offertes à ma vue.
"Tu vois sac à merde, lui il supporte bien la ceinture de chasteté que je lui mets "
Il y a quelques années, Maîtresse avait voulu m'en faire porter une mais je ne la supportais pas.
J'étais très déçu de ne pouvoir la garder car j’aurai aimé que Maitresse décide de ma vie sexuelle.
A cet instant j'enviais la chienne.
Maîtresse ajouta :
"Selon mon désir et mon humeur, je lui mets une ou 2 semaines, bien entendu c'est moi, seule qui ait la clef, il n'a pas le double."
Maîtresse prit ses couilles à pleine main et s'amusa sadiquement à les écraser.
Cela devait être très douloureux car la chienne qui est très résistant à la douleur se mit à gémir fortement.
A ce moment précis, j'ai eu peur que Maîtresse se saisisse des miennes de la même façon.
Maîtresse n'en fit rien.
Il eut lui aussi droit à la douce torture des orties. Maîtresse adorait cela.
Sur son balcon elle fait la culture des orties pour en avoir toujours sous la main au cas où......
La chienne gémissait de nouveau.
Avec le mors dans sa bouche cela faisait des gémissements bizarres
Moi j'admirais ma jolie Maîtresse.
Elle déposa sur la table toute sa gamme de fouets et de triques
Devant moi, elle essaya sur les fesses de la chienne chaque instrument afin de les échauffer avant la correction.
Une fois qu'elle estima que ses fesses étaient prêtes à l'emploi, elle s'adressa à moi.
"sam, combien de coups pour la chienne? "
Sans hésiter une seconde, je répondis :
"100 coups, Maîtresse "
"Tu sais que tu recevras la même chose, ensuite!!! "
Je ne pouvais plus faire marche arrière
"Oui Maîtresse "
Avec un magnifique sourire elle dit
"Très bien, alors tu vas compter chaque coup."
Maîtresse se saisit du fouet que je lui avais apporté et commença à frapper violemment les fesses de la chienne.
Comme ordonné, je comptais….
Enfin mon fantasme se réalisait.
Voir Maîtresse dans l'action.
Les premiers coups s'écrasaient sur ses fesses et déjà les premières traces appaissaient.
Qu'est-ce que Maîtresse était belle dans l'effort.
Je fus surpris et très impressionné par la rapidité et la force des coups.
Maîtresse ne retenait pas son bras.
Je me dis qu'il me serait impossible de subir les coups de la même façon.
Après 15 coups, Maîtresse se saisit d'une trique redoutable.
J'éprouvais de la pitié pour la chienne tout en me disant que je subirai le même sort.
Les marques sur les fesses de la chienne devenaient de plus en plus belles.
Maîtresse s'adressa à moi avec un joli sourire narquois.
"Tu vois ce qui t'attend sac à merde !!! "
"Oui Maîtresse, Vous êtes très belle quand vous fouettez et très excitante "
C'est vrai que Maîtresse était terriblement excitante. Pour la 1ère fois, elle m'offrait ce beau spectacle.
Maîtresse continua son œuvre
De temps en temps, Maîtresse m'adressait un sourire complice avec un léger sourire.
Je la trouvais de plus en plus belle dans cet exercice.
Je dois avouer que bien que les fesses de la chienne prenaient de belles traces et de belles couleurs, ce qui était pour moi
le plus impressionnant était de voir Maîtresse dans son art. Sa plastique était admirable à regarder et j’étais impressionné par sa précision.
Après 30 coups, Maîtresse s'arrêta pour caresser de sa main douce les fesses de la chienne.
Je savais ce qu'il ressentait à ce moment précis.
Les douces mains de Maîtresse venaient adoucir la correction
La chienne se mit à ronronner comme un chat.
Je savais que moi aussi j'aurai l'occasion de ronronner.
Puis Maîtresse se saisit des couilles de la chienne qui s'offraient à elle
Maîtresse les écrasa tellement fort qu'elle provoqua des cris sourd de la chienne.
Ensuite, Maîtresse se saisit d'une autre trique. Elle me la montra
"celle ci est très redoutable."
En effet le 1er coup fit sursauter la chienne et il lâcha un nouveau gémissement étouffé.
Ses fesses en portèrent tout de suite une forte trace. Cela m’excitait. Maîtresse lui infligea 15 coups.
Elle continuait de me regarder de temps en temps et me dit
"Crois tu que tu vas être capable de résister comme la chienne ? "
"Je ne sais pas, Maîtresse "
En disant cela, évidemment, je le souhaitais fortement.
Maîtresse continua, les coups pleuvaient.
Je me mis à ne regarder qu'elle. J'admirai ses belles jambes bougées à chaque coup. Son décolleté était délicieux à regarder.
Voir Maîtresse lever son bras et le laisser retomber sèchement me sublimait d'excitation. Elle n'était pas du tout essouflée.
Sans doute le résultat de ses passages à la salle de sport tous les jours.
Bien entendu, je n'étais pas pressé que la correction se termine car je savais qu'après ce serait mon tour.
Ce beau spectacle me fit oublier la douleur des pinces sur les tétons et des pinces à linge sur mes couilles.
Au 70ème coup, un peu de sang perlait sur les fesses de la chienne.
Maîtresse était très impressionnante, elle ne faisait vraiment pas semblant. A ce moment, je doutais fort qu'elle pourrait en faire
autant avec les miennes.
Franchement, Maîtresse m'offrait un beau cadeau. Elle saisit de nouveau mon fouet et cette fois, elle se mit à fouetter le dos de la chienne.
Alors que je continuais de compter les coups, Maîtresse dit.
" Non sur le dos cela ne compte pas "
Tout de suite, le dos de la chienne portait des traces.
Maîtresse s'aperçut de mon émoi.
" Ne t'inquiète pas sam, ton dos sera épargné. "
Maîtresse savait que je pouvais avoir des marques uniquement sur mes fesses.
Elle reprit ses coups sur les fesses de la chienne.
Au 80ème coup, elle s'arrêta de nouveau pour caresser ses fesses.
La chienne ne pouvait toujours pas s'exprimer à cause du mors dans sa bouche mais recommença à ronronner.
Il restait encore 20 coups et ses fesses étaient déjà en sang
"Prépare toi, sac à merde, cela va bientôt être ton tour "
Je ne risquais pas de l'oublier. Je continuais de savourer ces moments intenses.
Maîtresse se saisit d'un grand fouet et reprit sa cadence.
Elle administra les 20 derniers coups sans s'arrêter une seule seconde à toutes volées.
Le bruit de chaque coup était très fort.
Je n'oubliais pas de compter un seul coup. Les fesses de la chienne étaient très excitantes à regarder.
" Voila, correction terminée "
Aussitôt après la chienne essaya de s'exprimer.
" Tu veux du rab? "
La chienne fit un signe positif de la tête.
" Très bien, Combien de coups, sac à merde, je lui mets ?"
Toujours sans réfléchir je répondis :
" 20 coups, Maîtresse "
Maîtresse reprit son fouet et lui administra une nouvelle série de 20 coups.
Je profitais une dernière fois de la beauté de Maîtresse.
Avant de détacher la chienne, Maîtresse prit une photo de ses fesses avec mon portable.
C’est bien la chienne, tu peux partir, je n’ai plus besoin de toi."
Elle lui dit
" Pendant que je vais corriger sac à merde, tu vas nettoyer ma terrasse. "
La chienne nous quitta
"A toi, maintenant. "
Je redoutais ce moment.
" Crois moi, tu vas recevoir la même sentence "
Cela eut pour effet d'accroître ma peur.
Avant de passer à l'acte, Maîtresse eu la bonne idée de m'enlever les pinces à linge de mes couilles.
A chaque retrait, cela me provoquait une vive douleur.
Par contre, Maîtresse me laissa les pinces sur les tétons. Elle me libéra les bras qui étaient entravés.
" Allez en place "
Contrairement à la chienne, je ne suis pas monté à 4 pattes sur la table de torture pour présenter mon cul correctement à Maîtresse
mais suis resté debout arque bouté en appui contre la table. Maîtresse ne m'attacha pas. Une fois en position, elle commença l'échauffement de mes fesses. Je redoutais le début de la correction. Allait-elle me fouetter de la même façon que la chienne ou allait-elle se montrer plus douce?
Je n'allais pas tarder à le savoir.
" Tes fesses sont-elles assez échauffées ? "
" Je pense, Maîtresse "
" Très bien, ta correction va pouvoir commencer "
Un silence s'installa puis :
" Tu es prêt, sam ? "
Tout en redoutant le 1er coup, je répondis
«oui, Maîtresse "
Et un nouveau silence s'installa dans la pièce.
Et soudainement, j'eus la réponse. Maîtresse allait me corriger très sévèrement.
Le 1er coup atterrit sur mes fesses et tout de suite, je me dis que je n'allais pas pouvoir tenir longtemps.
Les coups commençaient à s'abattre les uns après les autres mais cependant pas à la même cadence que la chienne.
Cette fois-ci, je ne pouvais pas voir Maîtresse lever son bras. Je pouvais seulement admirer de temps en temps ses jolies jambes.
Comme pour la chienne, je devais compter chaque coup et dire merci Maîtresse.
Au 15ème coup, elle s'arrêta et dis :
" Oh tes fesses commencent déjà à avoir de belles traces "
" Merci, Maîtresse "
Avant de prendre un autre instrument, Maîtresse me caressa les fesses de sa douce main.
Je peux vous dire que c'est vraiment un moment très agréable à vivre.
En entendant mes ronronnements
" Je constate que tu aimes mes mains sur tes fesses "
" Oui Maîtresse, je les adore "
" Bon, reprenons, je ne fais que commencer."
Elle se saisit cette fois d'une trique. Maîtresse crut bon de me la faire voir pour m'effrayer un peu plus.
Les coups reprirent. Bien sûr, je redoutais de nouveau le 1er coup de ce nouvel instrument.
oh la la, qu'il me fit mal. Cependant cela ne dérangeait nullement Maîtresse. Elle continuait de frapper avec la même force.
Le plus pénible pour moi c'était de continuer de compter les coups et de dire merci Maîtresse à chaque coup, alors que j'avais du mal
à respirer normalement.
"Ton cul commence à me plaire, sam "
"Merci, Maîtresse "
Elle savait dire les mots justes pour plus d'humiliation.
Je dois avouer que j'aimais entendre ses paroles.
Nous en étions au 45ème coup quand elle changea de baguettes
"Regarde celle là comme elle est belle"
C'était la trique qui avait le plus marqué les fesses de la chienne. Je ne pouvais pas dire à Maîtresse que je refusais cette trique.
J'étais là pour souffrir et lui donner du plaisir … Je savais que ce ne serait pas une partie de plaisir. Et le plus étonnant c'est que je voulais être capable d'encaisser la même sentence que la chienne. Il y avait en quelque sorte, une rivalité entre nous deux.
Si lui était capable d'encaisser, je le devais aussi.
Bien sûr ceci ne sont que des intentions car une fois sans défense, croyez-moi, c'est autre chose.
"Tu es prêt, sam ?
" Oui, Maîtresse "
Elle continuait à me faire attendre ce 1er coup ce qui ajoutait encore plus de craintes de ma part.
Maîtresse savait y faire et aimait s'amuser. Maîtresse ne triche pas avec elle même. Elle sait vous entrainer jusqu'au bout de vos limites.
" houuuuuu "
Le coup fut affreux à supporter
" Je ne veux rien entendre sinon j'annule le coup, tu vas en recevoir encore 14 comme celui là "
"Très bien' Maîtresse "
Ce fut la série la plus redoutable jusque là. Chaque coup me rapprochait de la fin de cette série.
Je serrais les dents pour résister le mieux possible.
Apres un très fort gémissement :
"Celui est particulièrement réussi, je suis fière de moi "
Je savais qu'il fallait que je la remercie pour ce merveilleux coup. Je souffrais énormément en silence car je savais que Maitresse ne voulait pas un bruit sous peine d’arrêt de la correction. Ce que je ne voulais pas….
Vint enfin le 15ème coup de cette terrible série sur mes fesses.
"Un peu de douceur, maintenant "
Maîtresse se repositionna derrière mes fesses pour de nouveau les caresser de ses jolies mains douces.
C'était très apaisant. Tout doucement elle me dit
" Tu vois sam, je ne fais pas semblant. "
" Merci, Maîtresse de me corriger si sévèrement "
Après cette douce pause
" Combien sam as tu reçu de coups? "
" 60 Maîtresse "
" Il en reste donc 40 "
" oui, Maîtresse "
"Reprends la bonne position "
Maîtresse se saisit d'une nouvelle baguette.
Bien qu’elle continuait de frapper fort, je supportais plus facilement cette nouvelle série que la précédente.
Maîtresse s'arrêta au 80ème coup pour se saisir d'un grand fouet. Elle me laissa récupérer pour mieux repartir.
" Tu es prêt sam pour la dernière série "
"Oui, Maîtresse "
Ce fut une volée de coups sans aucun arrêt jusqu'au 100ème coup. Le fouet claquait très fort avec un bruit sec.
J'étais content, j'avais tenu.
" super sam, tu m'as offert un bon spectacle, je suis contente de toi "
" Merci, Maîtresse "
Elle prit une photo de mes fesses avec mon portable
" Regarde, je crois que tu n'es pas prêt d'aller faire voir ton cul sur les plages de l'Ile de Ré "
En effet, la photo me montrait mes fesses fortement marquées à la limite du sang à certain endroit.
" Merci, Maîtresse d'avoir été aussi sévère "
Et soudain une demande m'échappa de la bouche
" Maîtresse, puis-je avoir du rab comme la chienne ? "
" Avec plaisir sale chien "
Maîtresse continuait d'être humiliante à souhait. Elle se ressaisit du fouet et m'administra une nouvelle série de 20 coups.
" Voilà, sam, je pense que tes fesses en ont assez"
"Oui, Maîtresse " " Merci, Maîtresse "
J'étais content d'avoir pu rivaliser avec la chienne. Il avait eu 120 coups et moi aussi.
J'avais tellement peur de ne pas supporter les coups jusqu'au bout.
Maîtresse n'avait pas fait semblant. J'étais heureux et fier de moi
" Regarde tes fesses dans la glace "
Bien sûr, je ne me fis pas prier pour exécuter son ordre.
Ce que je vis fut impressionnant. En effet, je ne serai pas prêt d'aller sur ma plage de culs nus à l'Ile de Ré.
" Je vous remercie, Maîtresse "
" A genoux devant moi "
J'obtempérais à son ordre avec plaisir.
Maîtresse était très belle dans sa tenue.
J'avais mon nez à la hauteur de son décolleté. Je me surpris à l'y enfoncer pour le respirer… enfin de loin, sans la toucher….
Je lui dis " Merci, Maîtresse, d'être si belle, vous sentez bon "
Elle m'enleva les pinces de mes tétons ce qui provoqua une forte grimace de ma part.
Mon supplice n'était pas terminé. Je la vis s'emparer de petits essuies mains.
Elle commença ses tortures sur mes tétons.
Elle les pinçait très fortement et les manipulait dans tous les sens. Plus je gigotais en faisant d'affreuses grimaces, plus elle rigolait de bon cœur. Maîtresse était entrain de faire sa grande sadique.
Comme je gigotais de trop à son goût, elle m'infligea une gifle magistrale.
" Tu ne l'as pas volée celle là"
" Merci, Maîtresse "
Elle continua de s'amuser comme une folle avec mes tétons.
Je ne voulais surtout pas crier pitié Maîtresse. Mes tétons lui tenaient tête et j'aimais cette situation.
Maîtresse finit par s'arrêter
Allonge toi sur le sol."
Elle me mit un petit entonnoir dans ma bouche afin de garder suffisamment de distance entre elle et ma bouche à remplir. Elle se baissa pour vider sa vessie et m’offrir son champagne si doux.
Les premières gouttes arrivaient dans ma bouche. Puis tout en déversant son champagne, Maîtresse reprit son jeu sadique avec mes tétons. Elle me les pinçait tellement fort que mes jambes s'agitaient dans tous les sens.
" Masturbe toi sale chien "
Je me masturbais immédiatement. Ma verge était très excitée.
Maîtresse resta à califourchon sur mon visage.
Quel formidable moment !!!
Au bout d'un moment, elle me dit
" Récréation terminée"
" Tu auras peut-être le droit de jouir après avoir été à la laverie "
Maîtresse me laissa sur ma faim, mais ce n'était pas pour me déplaire.
" Tu peux te rhabiller "
" Merci Maîtresse de cette belle séance "
Une fois habillé, je partais à la laverie avec la couverture.
J'étais content de rendre service à ma Maîtresse.
A mon retour, j'eus le plaisir de discuter longuement avec ma jolie Maîtresse.
Elle me laissa repartir sans m'avoir fait jouir.
Le plus important pour moi était d'avoir une nouvelle fois passé un excellent moment avec Maîtresse.
Je repartis à la campagne le cœur léger et beaucoup d'images de cette merveilleuse séance.
J'ai déjà hâte d'être à la prochaine.
A tous les soumis qui ne se sont pas encore rendu à son royaume, je leur dis :
" Qu'attendez-vous? "