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Merci Maitresse

 

J’ai été convoqué par Mademoiselle Angie, ma Maitresse et Punitrice.

 

Une voix douce m’accueille derrière la porte

-  Bonjour Marc, comment vas tu ?

 

C’est une belle femme brune au regard vif, stricte et intransigeante, passionnée et joueuse.

Elle incarne à merveille la Maitresse raffinée, sévère et inaccessible, l’authentique Punitrice et excelle dans le rôle de Disciplinarian comme diraient les anglo-saxons.

Mon abandon inconditionnel à son autorité a été une évidence dès nos premières rencontres.

 

Douée d’une grande finesse psychologique, elle s’attache avec patience et intelligence à fouiller la part obscure des méandres de l’âme de ses soumis.

 

Son intuition décèle vite nos désirs inavoués ou refoulés, nos failles.

Elle sait alors s’amuser à en jouer avec conviction et enthousiasme.

L’étendue de la palette de ses talents est impressionnante, assortie d’une imagination débordante.

 

Sa tutelle et son emprise m’ont, d’emblée, subjugué et depuis m’accompagnent.

Elle a su imaginer la démarche du contrôle de mon addiction au tabac et bien voulu en accepter le coaching.

 

Son autorité s’impose sans conteste et ce jeu de rôle est devenu très vite et tout naturellement une forme de tutelle exigeante, à laquelle j’ai consenti pour ce challenge.

Elle sait prendre l’ascendant  avec conviction et fermeté, et passer du fantasme à la réalité.

 

Seul j’étais incapable de surmonter un tel challenge, voire seulement l’envisager …

Il faut préciser que, gros fumeur depuis l’adolescence, j’étais à environ vingt cinq cigarettes par jour.

 

Les règles d’un contrat ont été fixées avec rigueur et réalisme ; nous avons très progressivement, chaque semaine, sur deux mois, diminué d’une cigarette par jour ; pour parvenir à dix.

Ce chiffre est maintenant stabilisé depuis deux nouveaux mois.

 

Son implication est très assidue et vigilante.

Chaque jour, à sa demande, je lui rends compte par SMS de l’évolution de mon comportement et de mes difficultés.

 

Elle m’encourage ou me rappelle à l’ordre quotidiennement, à la fois bienveillante et stricte, toujours exigeante et sachant fort bien jouer de la menace.

Trois jokers m’ont été accordés avant une convocation en cas de défaillance, d’écart ou d’absence de message quotidien.

Quelquefois, inéluctablement, la sanction tombe et c’est là qu’elle exprime tous ses talents dans l’art de la discipline à l’ancienne, humiliante et sévère, avec ses punitions corporelles.

 

Mais c’est aussi parfois seulement pour entretenir et soutenir la motivation que je bénéficie de son « aide rougissante et cuisante », comme elle dit.

Elle sévit alors avec conviction et jubilation pour cette « piqûre de rappel » .

 

Bien sûr, je ne parviens pas toujours à tenir les objectifs qu’elle me fixe et parfois je suis démotivé voire tenté d’abandonner cette démarche.

Sa présence virtuelle, ensorcelante m’accompagne alors au quotidien dans ces moments difficiles de manque ou de faiblesse, et ils sont nombreux !

 

Je dois mériter sa confiance et son implication et tenir mes engagements.

   

Je suis bien sûr stressé par la perspective de cette convocation pour « mise au point »

On ne triche pas avec Mademoiselle Angie.

 

Ce recadrage, comme elle dit, m’a été annoncé depuis plusieurs jours.

Je l’attends avec impatience autant que je le redoute.

 

Car c’est l’heure de rendre des comptes … et je sais qu’elle n’hésite pas à punir tout écart avec beaucoup de sévérité.

Ses corrections ne sont pas du pan-pan cul-cul.

 

Il s’agit de vraies punitions corporelles, douloureuses et humiliantes, infligées avec détermination et maitrise.

 

-  A genoux, mains sur la tête !

 

Avec son élégance naturelle Mademoiselle Angie, toute de noir vêtue, porte un corsage légèrement transparent et décolleté, qui laisse deviner et souligne sa poitrine ; une jupe de cuir et des escarpins lui assurent cette allure raffinée.

Son goût est très sûr et classique, de même que la décoration de la pièce.

 

Ici pas de décorum ostentatoire ou vulgaire.

 

Je suis fasciné par sa beauté et l’autorité qu’elle irradie de façon spontanée.

Elle m’observe avec un sourire narquois.

 

Une cravache et deux cannes anglaises posées en évidence sur la table rappellent qu’ici la discipline est stricte.

 

Assise, elle croise et décroise ses jambes gainées de bas. 

 

-  Je t’écoute Marc

 

Je suis à genoux à ses pieds.

 

J’essaie d’expliquer, d’analyser laborieusement et à nouveau les difficultés du manque, les habitudes et le besoin si anciennement ancrés, la gestuelle réflexe, comment s’enchaine le cycle frustration - irritabilité - stress ; le véritable combat que je mène contre cette addiction et ce stress.

 

Je dis aussi la fierté de ce parcours, ma gratitude pour ce coaching si vigilant.

 

Je souligne à quel point sa présence virtuelle mais obsédante est un soutien salutaire pour ma lutte quotidienne dans ce challenge et la reconnaissance que je lui dois pour son implication.

 

Elle écoute avec une attention bienveillante, pose des questions, fait des suggestions, conseille, encourage et réprimande.

 

« Je comprends … me dit-elle avec empathie.

Tu fais de réels efforts et je suis contente de ta pugnacité et de tes résultats

Mais je dois rester exigeante et intransigeante, et c’est pour ton bien …

Il faut vraiment consolider et pérenniser ces résultats, je ne peux tolérer aucun dérapage …

Je t’ai autorisé un nombre limité de jokers et tu dois respecter les règles de ce contrat ».

 

Sa voie est douce, son sourire toujours malicieux.

 

Elle ne hausse jamais la voix, mais son autorité est immédiatement prégnante.

-   Je dois donc sanctionner tout manquement et te punir une fois de plus

Mais surtout je veux que cette punition stimule ta motivation.

 Crois moi, cette correction méritée va te marquer, et pas seulement tes fesses.

 

Sans plus attendre elle dégrafe ma ceinture et me voilà le pantalon sur les chevilles.

 

-  Aujourd’hui je vais être particulièrement sévère, cravache et les cannes anglaises. 

Cette fois, je vais t’attacher pour que tu gardes la position et subisses ce caning jusqu’au bout.

Les bracelets aux poignets maintiendront tes mains sur le tréteau, les chevilles seront tenues par une barre d’écartement. 

Tu seras ainsi vraiment immobilisé, ton postérieur pleinement exposé et offert, à ma disposition, dans cette position particulièrement humiliante.

 

Mademoiselle Angie prend manifestement plaisir à faire monter la tension. 

Son sourire est ironique.

 

Elle sait parfaitement combien ses paroles et l’annonce de la sanction participent de la mise en condition psychologique avant la correction.

 

Elle joue avec maitrise de ce cérémonial ritualisé et à l’évidence s’en amuse.

-  Je vais être lente et méthodique, cela va être douloureux, encore plus que les fois précédentes.

 

Elle fouette l’air avec la redoutable badine de rotin au sifflement si caractéristique.

 

Je n’en mène pas large … mais je suis comme hypnotisé, résigné, sous son emprise, et sais que j’ai besoin de cette correction.

Je l’attends et je la redoute à la fois. 

 

Les règles et les sanctions sont chez elle appliquées avec rigueur.

Mais c’est moi qui ai choisi, en m’engageant dans ce challenge, de me soumettre et me plier à son autorité.

Je dois continuer à mériter sa confiance.

Je vais subir ce que je mérite, corollaire de mon choix, de mon abandon à sa tutelle, qui m’est nécessaire et qui reste pour moi le meilleur soutien et le meilleur exutoire au stress.

 

C’est maintenant l’humiliation du caleçon baissé et des bracelets attachés aux poignets et aux chevilles puis l’immobilisation sur ce tréteau, devenu familier au fil des mois.

Mes fesses sont désormais offertes à Mademoiselle Angie qui a sorti un redoutable martinet d’un des tiroirs de son meuble asiatique.

Je suis totalement à sa merci.

 

-  Je vais commencer par préparer tes fesses avant la cravache 

Cambre toi bien …

Trois séries de trente : d’abord la cravache puis les deux belles badines en rotin que tu as fait venir d’Angleterre.

Tu vas compter et à chaque coup, me remercier de m’occuper de toi et réaffirmer ta détermination à poursuivre tes efforts.

 

Et la correction commence….

Les lanières du martinet viennent rougir et chauffer mes fesses offertes.

Ce n’est qu’une préparation, dit-elle.

 

Puis c’est l’impact de la cravache qui s’abat méthodiquement sur mes fesses et les embrase rapidement.

Les coups s’enchainent, précis et claquent sèchement

-  Merci Maitresse, je dois, je vais respecter le chiffre de neuf cigarettes autorisées et ne pas dépasser ces neuf …

 

Ce récitatif va ponctuer et rythmer la correction, telle une incantation.

Cependant, répéter la même formule ne la satisfait pas.

 

Elle exige de l’imagination et de la conviction.

 

Mais je suis tellement obnubilé par la position humiliante et les coups que je suis incapable de réfléchir et trouver les mots qui conviendraient pour la remercier et m’engager à poursuivre cette discipline de contrôle du tabac.

 

C’est donc elle qui les imagine, raillant mes hésitations embrouillées et me les fait réciter.

  

J’essaie de rester stoïque mais ne peut empêcher quelques grognements de douleur.

Maitresse s’interrompt régulièrement pour rappeler les règles de ce challenge, répéter ses conseils, ou commenter la situation.

-  Combien Marc ?

La douceur de sa voix contraste avec la cruauté de sa cravache.

-  Vingt

-  Tu es sûr ? Bon, je te fais confiance

Tes fesses commencent à prendre une belle couleur.

La cravache continue à s’abattre, lentement et méthodiquement.

-  Trente … « Merci Maitresse » …

 

Mais le pire est à venir …

C’est maintenant la canne anglaise qui prend le relais.

C’est une badine en rotin assez fine et flexible qui siffle en fendant l’air avant de cingler mes fesses.

 

C’est un instrument très sévère, emblématique de la discipline anglaise traditionnelle, et qui marque en laissant de belles stries caractéristiques, doubles et parallèles.

 

La douleur est comme une brûlure déchirante aiguëe.

J’ai de plus en plus de mal à rester silencieux.

 

Des râles et grognements de douleur m’échappent de plus en plus.

Je m’efforce de contrôler ma respiration

Il m’est de plus en plus difficile de réciter les « Merci Maitresse, je dois, je vais respecter le chiffre de neuf cigarettes autorisées et ne pas dépasser ces neuf … »

 

Je m’abandonne totalement à sa sévérité cruelle, à sa volonté et son autorité  

Elle surveille la progression de son œuvre comme une artiste.

 

Régulièrement sa main fraiche vient apprécier les stries et boursoufflures de mes fesses meurtries et cramoisies en les effleurant et les caressant lentement avec douceur.

 

Hélas cet apaisement est bien trop bref.

Elle espace les coups afin de laisser diffuser la douleur, joue de l’attente anxieuse du suivant ou s’amuse au contraire de la surprise de frappes très rapprochées.

 

-  C’est pour ton bien, tu le sais …

Maitresse est une sportive, joue au golf et son swing est redoutable. 

La frappe est appuyée, précise. 

Il est évident que c’est pour elle un jeu qui l’amuse mais qu’elle prend très au sérieux.

 

Elle rit, commente, critique, apprécie en authentique connaisseuse.

-  Ce coup est superbe … puis … non, celui-ci ne me plait pas, il ne compte pas.

 

La douleur brûlante de la badine cisaille mes fesses de plus en plus intensément.

Maitresse s’amuse et cible maintenant le sillon entre fesses et haut des cuisses, là où c’est le plus douloureux.

Je ne peux m’y soustraire et le décompte et le récitatif du « Merci Maitresse » se poursuit inexorablement mais de plus en plus difficilement pour moi.

 

La pauvreté de mes formules l’agace.

Je suis incapable trouver mots et les phrases qu’elle attend.

 

-  Articule, je veux t’entendre, fais un effort d’imagination, essaie d’être convaincu … et convaincant.

 

Ma résignation à la terrible sévérité de ce caning est maintenant totale.

Mademoiselle Angie a vraiment pris le contrôle de ma volonté.

Enfin le « Trente, Merci Maitresse » …

 

-  Je t‘accorde une pause 

Nous allons laisser tes fesses cramoisies souffler et refroidir un peu. 

Elle me détache du tréteau sur lequel je suis courbé et m’ordonne de me mettre à genoux devant elle.

 

Son regard est narquois et son sourire facétieux d’une exquise cruauté.

Je suis à ses pieds, je peux admirer ses jambes parfaites gainées de bas.

 

-  Tu sais que j’adore torturer tes seins, dit-elle en déboutonnant ma chemise

Elle joue d’abord avec ses doigts puis ses ongles … longuement elle agace, titille, pince, tord les aréoles de mes seins … amusée de mes grimaces, alternant fermeté et légèreté, douceur et sévérité.

 

Puis elle se dirige vers le beau meuble asiatique à tiroir, plein de mystères et surprises.

 

Elle en sort les pinces à sein et des poids à y suspendre.

Les pinces écrasent mes aréoles Une chaine les relie entre elles.

 

Maitresse a un jeu qui l’amuse beaucoup : elle lève la chaine bien haut, me demande de compter, puis la laisse tomber brusquement par surprise ; ce qui a pour effet de resserrer instantanément et violemment les pinces.  

Elle tire sur la chaine, la secoue … puis les poids viennent alourdir et resserrer les pinces …

Maitresse s’amuse franchement ; mes grognements et mes grimaces la font rire.

 

L’escalade de la douleur est exquise mais c’est aussi paradoxalement l’extase.

Maitresse, en véritable magicienne virtuose, maitrise la métamorphose subtile de la douleur en plaisir.  

 

Et ce n’est pas fini ….

La palette de ses jeux est tellement inventive.

Elle brandit un gant extrait d’un tiroir de son mystérieux meuble.

 

-  Tu sais ce que cela signifie, dit-elle

-  Oui, Maitresse

Je le sais trop bien maintenant.

Maitresse cultive des orties sur son balcon … clin d’œil d’une adepte des produits naturels et du bio …

 

De retour du balcon, munie de son gant, elle agite une poignée de branches d’orties toutes fraiches avec une joie provocante.

Elle en sait le terrible pouvoir urticant, brûlant et mordant.

 

-  Regarde comme elles sont belles.

C’est d’abord une caresse piquante sur les fesses.

-  Ecarte bien les jambes et penche toi en avant, les mains sur la tête, ordonne-t-elle

Avant, par surprise, d’investir brusquement l’entrejambe.

Mes bourses et l’intérieur de mes cuisses sont en feu.

 

Puis elle passe devant moi et fait subir le même sort à mon sexe.

Elle passe et repasse, effleure et appuie successivement, riant franchement de mes gesticulations et supplications pour tenter d’échapper à la terrible morsure.

 

Et là c’est comme un terrible brasier qui s’empare de mon entre jambe et de mon sexe et je me contorsionne, grogne et gémis de façon incontrôlable.

 

-  Je vais te laisser méditer un moment, que tu puisses profiter de mes bons soins aux orties et des pinces que je te laisse.

 

La notion de temps est devenue très floue.

Je suis entièrement submergé par la morsure brûlante, intense et diffuse des orties, la chaleur cuisante et douloureuse de mes fesses que j’imagine cramoisies, striées de boursoufflures et l’écrasement des pinces qui sont devenues un véritable étau.

 

Brusquement le bruit de talons de ses escarpins annonce son retour.

 

Mademoiselle Angie est radieuse et espiègle, sa voix est très douce en contraste total avec cette sévérité calmement déterminée.

-  Comment te sens tu Marc ? As-tu bien réfléchi aux raisons de cette punition et pris de bonnes résolutions ?

Tu sais que cette correction n’est pas terminée et que je vais toujours au bout des choses.

Combien reste t il ?

-  Trente Maitresse ; je réponds avec crainte.

 

J’ai peur, je redoute de ne pas supporter cette nouvelle série avec une canne de rotin plus grosse que la précédente.

Ma respiration est saccadée.

Mes fesses sont déjà en feu, la morsure urticante des orties persiste …

Je demande pitié pour les pinces qui torturent mes seins.

 

En se moquant de moi, Maitresse accepte de les enlever, ce qui provoque une douleur fulgurante et un cri incontrôlé m’échappe.

-  Ne bouge pas, tu es bien douillet aujourd’hui.

 Je ne veux plus entendre tes grognements et tes gémissements.

 

Silence …

Elle retourne vers le fascinant meuble à tiroir.

- Je vais te mettre un bâillon pour la fin de cette punition.

Il faut que tu progresses dans l’acceptation de la soumission à mon autorité.

Je te supprime le droit à la parole et de plus cela t’empêchera de te plaindre ou de protester.

Je vais profiter du sifflement que fait cette badine dans l’air puis du bruit mat lors de son impact ; ce sera comme une partition pour percussions que je vais composer et jouer en variant le rythme et la force des frappes.

 

Manifestement cette idée l’amuse

 

Je suis attaché à nouveau mais cette fois bâillonné et courbé sur la table noire

Elle a dégagé de l’espace au milieu de la pièce pour bien se positionner et ajuster ses coups.

Maitresse n’a rien perdu de son énergie.

Elle frappe à un rythme lent, avec force et précision.

La badine s’abat inexorablement sur mes fesses déjà terriblement meurtries.

 

Elle alterne ses frappes à droite puis à gauche.

Cette canne de rotin inflige une douleur terrible, exquise, cinglante et irradiante.

 

Mes fesses et mes cuisses sont agitées de tremblements incontrôlés.

 

-  Cela fait de belles stries parallèles. Je suis très contente de ces cannes anglaises.

 

Elle commente avec un mélange d’amusement, d’expertise, et surtout avec une réelle cruauté.

 

Je ne peux évidemment pas la voir dans cette position mais je ressens toute la conviction et l’authenticité de sa détermination.

 

Elle vient à nouveau inspecter et caresser par intermittence mes fesses incandescentes et boursoufflées, vérifiant les effets de son caning.

Ces intermèdes sont un moment de répit et de délice mais bien éphémère.

-  Tu commences à avoir un postérieur très marqué, je suis très satisfaite de moi.

Voilà un souvenir que tu ne vas pas oublier de sitôt.

Tu vas garder les traces de ma signature sur ton postérieur pendant des jours et tu penseras à moi.

 

-  Encore dix, Marc

 

Le bâillon m’empêche de protester et m’oblige à baver, humiliation supplémentaire …

Seuls quelques borborygmes de douleur, inintelligibles, m’échappent.

 

J’essaie de compter mentalement, mais vainement, dans l’attente de la fin prochaine de ce terrible et épuisant caning qu’elle m’inflige inexorablement, sans pitié.

 

Mais je suis tellement dans un état second, ma tolérance à la douleur semble repoussée, je suis prêt à aller au delà de mes limites.

 

Heureusement Mademoiselle Angie veille, attentive, et garde toujours une complète maitrise de la situation ; je suis en totale sécurité, elle sait accompagner au bord du précipice mais sans laisser chuter …

 

-  Trente annonce-t-elle …

Enfin … nous arrivons au terme de cette très éprouvante correction.

Maitresse me libère de mes liens et du bâillon.

Je suis entièrement sous son emprise, totalement abandonné à sa sévérité et son autorité.

 

Merci Mademoiselle Angie …

 

-  C’est bien Marc, je suis fière de toi.

 

J’espère que tu retiendras la leçon et qu’elle t’aidera à maintenir tes efforts.

Tu ne vas pas t’assoir confortablement ce soir, le frottement de la chemise sur tes seins et la morsure des orties te rappelleront mes exigences et ma vigilance.

Tu vas pouvoir profiter plusieurs jours de ces belles stries sur tes fesses qui sont ma signature.

Cela te fera penser à moi….

 

Ces punitions si sévères, infligées avec expertise et talent me sont salutaires

C’est un exutoire au stress, une véritable catharsis.

 

Mais je ne veux pas oublier un autre bienfait de cette tutelle, c’est la diminution de plus de moitié de ma consommation, soit environ 1500 cigarettes de moins en quatre mois !

Je ne doute pas de sa sincérité quand elle se dit contente et fière de ces résultats et que cette tutelle et ces séances lui procurent un réel amusement.

 

Elle s’y implique avec enthousiasme, conviction et un réalisme fascinants.

 

Ce suivi est devenu une forme de thérapie de soutien originale, peu académique ou conventionnelle certes, mais aux résultats et bienfaits étonnants.

 

Que n’ai je rencontré Mademoiselle Angie plus tôt ?

 

Pour tout cela j’éprouve une immense gratitude envers elle.

 

Marc

 

 

 

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