L'attente de vous revoir a été bercée de vos jeux intrépides, vicieux et me rendant docile. Il n'y a pas eu un jour pendant le confinement où vous, Mes Maîtresses, je n'ai pensé et ressenti votre emprise sur ma personne.
Alors quand vient l’annonce de votre retour, le calme de se savoir voulu comme une petite pute, me ramène à cette place merveilleuse d'être l'un de vos soumis.
Il y a eu tout d'abord l'honneur de me demander de venir vous chercher à votre train, puis finalement vous changer d'avis je serai le dernier de vos soumis avant votre départ et finalement vous pensez que j'ai besoin de 2 convocations.
Il y a dans ces moments l'envie de rentrer dans une histoire, de savoir que je vais être le jouet de l'esprit créatif et débordant de mes Maîtresses.
Je décide alors que chaque jour j'irai déposer un présent à Chipie, chacun de ses moments ont été pour moi une continuité du plaisir que j'ai de faire des cadeaux à mon amoureuse.
Quand vient ma première convocation j'ai oublié que nous étions déjà en été et j'aime mieux prévenir Maîtresse Angie qu'en arrivant en vélo je serai trempé de sueur....Elle m'ordonne de monter, je me sens si calme, si paisible car je sais que je vais vivre un moment intense et mon corps sera le complice de sa perversion.
La porte est entrouverte, je la pousse et je retrouve Mademoiselle Chipie vêtue de simples, mais très sexy, sous vêtements (je me dis qu'elle aussi a très chaud et que nous souffrons ensemble du même mal!) d'ailleurs elle me punit d'une douche glacée dès mon arrivée.
Mais voila Maîtresse est d'humeur massacrante et je vais durant toute la séance devoir subir des assauts nombreux, durs, et réguliers de sa badine et de son Scorpion. Elle s'applique pour que chacun de ses coups soit ressentis au plus profond de mon être, elle se joue de mes fesses pour qu'elles soient uniformément rouges, marquées au fer de sa Grandeur. Je n'avais jamais été autant fouetté, autant battu par Mademoiselle depuis que nous avons commencé mon éducation. Il y avait dans sa volonté me faire plier, me faire admettre que ma colère n'a d'égal que la vanité de supporter ses coups.
Il n'y a pas eu de scénario, il n'y a pas eu d'histoires enrobant, j'ai eu à admettre que je n'étais qu'un défouloir.
Comme à son habitude elle a titillé en profondeur mes tétons, elle a pris son temps de me demander un massage long de ses pieds magnifiques, elle a glissé ses doigts malicieux dans mon trou de pute. Mais elle revenait sans cesse à mon cul qu'elle voulait non pas rouge mais noir de mon orgueil.
Devais-je lui demander pardon pour qu'elle arrête, devais-je me grandir en acceptant sa fureur, devais-je implorer le pardon pour tous mes colères, devais-je accueillir avec joie sa perfide dureté, devais-je me mettre à pleurer pour lui exprimer ma gratitude de s'occuper de mon pauvre cas? Je n'ai jamais pu me résoudre à répondre à toutes ses questions, j'étais aux mains de Maîtresse.
Quand elle m'a libéré de ses jougs, mon corps mon âme, ma volonté était anéantie. Je savais que j'allais retrouver les bras de mon amoureuse et qu'elle saurait me câliner.
Et je sens que ma deuxième convocation sera pour Maîtresse Angie un terrain pour m'expérimenter sur des chemins inconnus, une sortie en club pour être exhibé, une séance de domination domestique où elle va me demander de lui préparer son repas, lui faire son ménage, une séance avec un autre soumis où elle va se jouer de notre fébrilité, une séance avec une autre Maîtresse pour évaluer mon niveau de soumission, une séance pleine de mystère dont je ne peux pas imaginer le scénario.
J'arrive et cette fois-ci j'ai une serviette. Dès mon entrée à la porte des supplices, je vois que Mademoiselle va continuer son travail de sape car elle est avec la même tenue.
Le rituel est installé je suis nu devant Elle… Elle m'inspecte, et prend plaisir à admirer son travail, et d'ailleurs démarre immédiatement par quelques coups de badine, je me dandine, elle rit de me voir me tortiller comme un vers, je pense "comme je suis ridicule". Puis elle me dit que son plaisir sera concentré sur mes seins pour que quand elle sera partie je me ressente le frottement du coton de ma chemise. Et Vous savez comme elle sait le faire...
Je suis attaché bras en l’air dans une position et une musique entrainante dansante passe sur mon ordinateur… et très spontanément Maitresse se met à danser onduler devrais-je dire… elle m’oublie quelques instants pour se concentrer sur son expression… et elle me demande de danser moi aussi, je suis attaché bien sur… elle se joue de moi elle rit de la situation et nous dansons tous les 2 le temps de cette chanson…. La suivante inspirera bien autre chose à Maitresse….
Me voilà, à genoux devant elle, ses doigts lentement, inlassablement, martyrisent les bouts de seins rouges, tout en susurrant des mots au creux de mon oreille, en me disant "tu sais qu'aujourd'hui je t'ai préparé une surprise? Est-ce que tu sais laquelle?"
Je suis un peu badin je me doute fortement qu'elle a convoqué un autre soumis pour se jouer de notre embarras, mais je lui réponds "vous avez proposé à une autre Maîtresse de jouer avec moi?".
Elle me bande les yeux avec du cellophane noir, et j'entends la porte d'entrée s'ouvrir et la voix d'un homme. Elle me dit que je vais devoir lui donner du plaisir, et rien ne va se passer comme Mademoiselle Angie l'a décidé. La queue de cet homme n'a jamais pu ou voulu se dresser, et quand elle lui a demandé de me sucer, moi qui n'ai jamais aimé cette pratique sauf avec mon amoureuse, la situation était vouée à l'échec! Maîtresse Angie s'est beaucoup moquée de nous, et elle a décidé de congédier la surprise.
Me voila allongé nu, bandé, et Mademoiselle telle une chipie revient à son jeu du jour mes tétons. Ressentir son emprise, ressentir la douleur et vouloir la supporter est un instant de grâce mais quand elle me dit que je suis juste proche de son sexe, me rend totalement ivre de ne pouvoir ressentir la joie de la contempler. Et c'est à cet instant qu'elle décide de me faire découvrir que mes testicules sont aussi de magnifiques citrons à presser et qu'elle veut en voir la qualité de mon suc.
Mais vous m'avez laissé partir sans aucune libération, Vous m’avez emmené au paroxysme de ma souffrance, ma cage est restée en place sans aucune libération…. Je sais qu’elle avait gardé cet autre soumis qui a eu la chance de la servir jusqu’à ces derniers instants parisiens…
Je n'ai qu'un mot Merci Maîtresse.
jouet bertrand