top of page

Ma première épilation

 

Chère Maitresse Angie,

 

Comme vous l’avez exigé me voici devant mon écran pour décrire ce que j’ai vécu hier.

 

J’imagine que vous allez être sévère avec l’orthographe qui est mon point faible, je vais faire mon maximum pour ne pas vous faire bondir.

 

Mon téléphone me prévient ce mardi à 9h00 d’un sms, je regarde : Maitresse Angie apparait, je suis fébrile de lire ce nouveau message suite à votre convocation pour le mercredi 29 afin de parfaire mon éducation.

Une demande, simple, « aller me faire épiler », moi qui le matin même m’organisais pour penser à brancher le petit rasoir que nous utilisons mon amoureuse et moi pour nous couper nos poils, pratique qu’elle m’a fait découvrir quand je l’ai rencontrée.

Je sais que je n’ai pas beaucoup de temps dans mon agenda pour prendre un rendez-vous, mais comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, je ne travaille pas ce mardi après-midi.

Je prends deux minutes sur ma journée au travail pour chercher sur internet et trouver un centre de soin pour homme, je suis sur le qui-vive afin que mes collègues ne voient pas ce que je suis en train de chercher.

Sur le quai de la gare, je passe un appel pour prendre rendez-vous, un peu gêné mais très heureux de pouvoir simplement répondre à un ordre de Vous. L’esthéticienne me pose quelques questions et  me propose un horaire qui m’arrange.

Dès que je raccroche je me demande comment je vais réagir face à une femme qui va s’occuper de mes parties intimes. Je Vous explique ma préoccupation, et Vous me répondez comme Vous savez le faire en chipie, mon sexe se dresse, alors dans mon pantalon.

Je me sens si léger d’obéir, mais en même temps, je me dis que je ne peux pas laisser mon amoureuse seule à 16h, je sais qu’elle organise un concert important ….  Je suis pris entre 2 désirs, 2 besoins ….Pourquoi vais-je devoir faire un choix ? Aider mon amoureuse ou aller à ce rendez-vous chez l’esthéticienne qui m’excite déjà beaucoup. Je lui dis que je vais passer la voir, elle en profite pour me demander de l’aider pour le démontage. 

Et voilà… que dois-je faire ??. Alors je lui dis que j’ai un truc à faire pour Maitresse JoSéphine, mon amoureuse me sourit. (il faut savoir que Maitresse JoSéphine est mon amoureuse, laquelle joue avec Mademoiselle Angie pour parfaire mon éducation).

Il est 16h30, j’écoute le concert je suis ému de qu’elle accomplit. Je regarde impatient l’heure avant mon rendez vous.

L’heure approche, je décide de passer acheter une fleur pour mon amoureuse avant de me présenter dans cet institut très faussement glamour, quand je rentre, avec 10 minutes d’avance, il y a un jeune homme qui reçoit des conseils de l’esthéticienne. Je suis très étonnement calme, elle me conduit dans la cabine, fermé par un petit rideau tous simple, une table de massage, une étagère entourant le côté droit et un immense miroir sur le fond. Elle me dit de me déshabiller et de m’allonger, elle sort je m’exécute, je suis nu allongé face à mon image, seul pendant 5 minutes, mes sens sont en éveil et je sens la douceur du lieu. Je souffle, mon sexe ne bouge pas, je souris, je suis soulagé.

Elle rentre, me demande si je me suis déjà fait épiler, la réponse est non, quelle technique j’utilise pour me couper les poils.

Puis elle me dit d’écarter mes jambes, et elle débute. Je ne regarde pas, je profite de l’instant quand la cire chaude vient se poser sur mon corps, la légère sensation de chaud, j’observe sa dextérité, crac elle enlève une première bande, quel bonheur …. c’est à la fois douloureux et si apaisant d’être ici, seulement pour le plaisir de mes Maitresses. Elle m’interroge sur le pourquoi de cette épilation, je lui dis que c’est une demande, et elle continue avec une agilité et une grâce pleine de fermeté dans le geste. Elle me dit qu’elle en a vu, mais que la seule chose qui l’importe c’est qu’elle soit respectée dans son travail, je vis ce moment-là comme un cadeau être au plus près de la sensualité et ne pas ressentir la moindre pulsion envers cette femme, mais être en pensée avec Vous et Maitresse JoSéphine.

A chaque bande arrachée, je me rappelle vos coups de badine, et pourtant je ne souffre pas.

Elle me fait remarquer que je supporte très bien et trouve cela presque étonnant, je lui avoue que peut-être j’aime cela, elle sourit.

Je dois tenir mon sexe, une fois à droite, à gauche, vers le haut, vers le bas, c’est un petit asticot que j’agite dans tous les sens. La chaleur de la cire se fait plus forte, je crois que c’est une montée en température, mon sexe devient plus sensible, c’est délicieux.

Elle utilise une petite pince à épiler pour enlever les derniers poils récalcitrants, picotements délicieux, elle me signale que certains poils n’ont pas pu disparaitre car trop petits pour avoir été piégés par la cire.

Elle me demande de me retourner, et de la même manière me dit qu’il lui faut de l’aide en écartant mes fesses. Me voile nu, à la merci d’une femme que je ne connais pas, qui ne me connait pas, lui montrant mon petit cul, j’ai presque honte en pensant à ma vilaine tache de naissance qu’elle a sous les yeux. Mon corps lui reste impassible alors que mon esprit s’excite. Et cela ne s’arrête pas, elle prend de la cire comme moi le matin je prends mon miel, l’étale sur ma peau, la laisse refroidir, puis l’arrache. Tout mon corps est abandonné à ce plaisir.

Voilà c’est fini me dit-elle, je vous ai mis un coton avec de la crème que vous devez vous passer partout où je vous ai épilé, elle tourne les talons, s’en va et j’applique lentement cette crème si fraiche sur mon corps. Je suis presque fier, mon corps est resté de marbre devant cette femme, je l’ai respectée.

Je règle, je sors je marche et oups j’ai oublié la facture, je reviens sur mes pas et rentre à nouveau pour demander le justificatif.

Sur le chemin du retour, le cœur léger j’ai envie de faire une surprise à mon amoureuse, je m’arrête à la Musardine, où j’achète « osez le cunnilingus » pour lui faire la lecture.

Je sais que mon amoureuse va rentrer tard, voire très tard, mais je l’attends.

Quand nous nous retrouvons tous les deux dans notre lit, je commence à lui lire le livre, elle me caresse, elle me dit simplement que  mes fesses sont douces, mon sexe se dresse, c’est un moment tendre, elle a la grandeur de ne pas faire de commentaire, elle m’amène au plaisir mais me laisse simplement avec mon érection. 

Nous aurons à la suite une discussion sur mon entretien et le sens de nos activités respectives. Nous nous sommes endormis dans les bras.

Cette journée a été jusqu’au bout un beau moment.

Merci Maitresse Angie

jouet bertrand

bottom of page